





Près de l’église Sainte-Jeanne-d’Arc, sur la place du Vieux-marché, cette grande croix marque l’emplacement du bûcher de la Pucelle. Une statue de Jeanne est adossée à l’église, face au lieu de son supplice.
C’est ici que Jeanne a été brûlée vive, le 30 mai 1431, devant les autorités anglaises, les représentants de l’Église et une foule nombreuse. Comme l’avaient stipulé les juges du procès en réhabilitation de Jeanne en 1456, une croix commémorative est dressée, presque cinq siècles plus tard, à l’emplacement de son martyre. Tout a changé sur la place qui l’entoure. Seules les ruines d’une ancienne église Saint-Sauveur et La Couronne, plus vieille auberge de France, sont contemporaines de la Pucelle.
A proximité, sous le prolongement de la toiture de l’église qui forme une sorte de préau, on peut lire en grandes lettres le début d’une phrase d’André Malraux prononcée à Rouen lors de son discours du 31 mai 1964 à l’occasion des fêtes Jeanne d’Arc :
« O Jeanne sans sépulcre et sans portrait, toi qui savais que le tombeau des héros est le cœur des vivants »
Le visage de Jeanne au bûcher :
La statue de Jeanne au bûcher est réalisée en pierre par Maxime Real del Sarte avec la collaboration de Roger de Villers en 1927. Elle a d’abord été présentée au salon des artistes français où elle a reçu une médaille d’argent, avant d’être exposée place de la Concorde à Paris puis inaugurée à Rouen, en 1929. Real del Sarte est le sculpteur qui a réalisé le plus grand nombre de statues de l’héroïne rouennaise. Entre 1909 et 1953, il a créé pas moins de 36 sculptures différentes ! Haute de 3 mètres, la Jeanne au bûcher pèse plus de 4 tonnes. L’accent est mis sur le visage gracile et serein de Jeanne en prière, les pieds sur le bûcher, des flammes léchant son vêtement. Le sculpteur affirme ainsi : « Il manquait un visage à l’idée de la Paix : que ce visage soit celui de Jeanne, Sainte de la Patrie, ange de la Paix, sublime messagère de la grâce ! »
Cette statue fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 30 octobre 2002. Il en existe deux répliques monumentales. L’une se trouve, depuis 1948, sur les bords du Rio de la Plata, à Buenos Aires, en Argentine et l’autre peut se voir, depuis 1951, à l’université de Montréal au Québec.
C’est ici que Jeanne a été brûlée vive, le 30 mai 1431, devant les autorités anglaises, les représentants de l’Église et une foule nombreuse. Comme l’avaient stipulé les juges du procès en réhabilitation de Jeanne en 1456, une croix commémorative est dressée, presque cinq siècles plus tard, à l’emplacement de son martyre. Tout a changé sur la place qui l’entoure. Seules les ruines d’une ancienne église Saint-Sauveur et La Couronne, plus vieille auberge de France, sont contemporaines de la Pucelle.
A proximité, sous le prolongement de la toiture de l’église qui forme une sorte de préau, on peut lire en grandes lettres le début d’une phrase d’André Malraux prononcée à Rouen lors de son discours du 31 mai 1964 à l’occasion des fêtes Jeanne d’Arc :
« O Jeanne sans sépulcre et sans portrait, toi qui savais que le tombeau des héros est le cœur des vivants »
Le visage de Jeanne au bûcher :
La statue de Jeanne au bûcher est réalisée en pierre par Maxime Real del Sarte avec la collaboration de Roger de Villers en 1927. Elle a d’abord été présentée au salon des artistes français où elle a reçu une médaille d’argent, avant d’être exposée place de la Concorde à Paris puis inaugurée à Rouen, en 1929. Real del Sarte est le sculpteur qui a réalisé le plus grand nombre de statues de l’héroïne rouennaise. Entre 1909 et 1953, il a créé pas moins de 36 sculptures différentes ! Haute de 3 mètres, la Jeanne au bûcher pèse plus de 4 tonnes. L’accent est mis sur le visage gracile et serein de Jeanne en prière, les pieds sur le bûcher, des flammes léchant son vêtement. Le sculpteur affirme ainsi : « Il manquait un visage à l’idée de la Paix : que ce visage soit celui de Jeanne, Sainte de la Patrie, ange de la Paix, sublime messagère de la grâce ! »
Cette statue fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 30 octobre 2002. Il en existe deux répliques monumentales. L’une se trouve, depuis 1948, sur les bords du Rio de la Plata, à Buenos Aires, en Argentine et l’autre peut se voir, depuis 1951, à l’université de Montréal au Québec.
Prestations
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Toilettes
Visites libres en permanence
Visites guidées sur demande
Tarifs
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Gratuit pour tous
—
Périodes d'ouverture
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Site en accès libre
Localisation
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Accès
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- Transport en commun : Bus T4 arrêt Vieux-Marché