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La Forêt Monumentale

à Canteleu
4.0 km
2h
Facile
4.0 km
1h 30min
Facile
4.0 km
7h 30min
Facile
  • Ouverture au public le 29 juin 2024 dans la forêt domaniale de Roumare, à Canteleu, à proximité de Rouen.

    La manifestation "La Forêt monumentale" propose de découvrir des œuvres monumentales en forêt. Elle est pilotée par la Métropole Rouen Normandie en collaboration avec l’ONF.

    Ce parcours unique permet aux visiteurs de découvrir ou redécouvrir avec un autre regard ce milieu naturel remarquable. Il nous invite à explorer dans une étendue boisée des œuvres imaginées par des plasticiens,...
    Ouverture au public le 29 juin 2024 dans la forêt domaniale de Roumare, à Canteleu, à proximité de Rouen.

    La manifestation "La Forêt monumentale" propose de découvrir des œuvres monumentales en forêt. Elle est pilotée par la Métropole Rouen Normandie en collaboration avec l’ONF.

    Ce parcours unique permet aux visiteurs de découvrir ou redécouvrir avec un autre regard ce milieu naturel remarquable. Il nous invite à explorer dans une étendue boisée des œuvres imaginées par des plasticiens, paysagistes, artistes, designers et architectes qui s’immergent dans ces poumons verts et expérimentent d’autres formes de création.

    La Forêt Monumentale est l’opportunité d’explorer de nouvelles inspirations, et de nouveaux récits questionnant ainsi le rapport entre l’humain et la nature.

    Ce projet insolite et ambitieux permet de valoriser le riche patrimoine forestier de la Métropole qui couvre un tiers de son territoire. Il s’inscrit également dans un important travail de valorisation et de sensibilisation des trois forêts domaniales labellisées Forêt d’Exception®, mené par la Métropole Rouen Normandie en collaboration avec l’ONF, partenaire incontournable et gestionnaire du site. L’ONF accompagne ainsi la Métropole sur ce projet à chacune des étapes : définition du parcours, des sites d’installation des œuvres, membre du jury, responsable des travaux de sécurisation du site….

    Un mécénat bien implanté, la filière bois au rendez-vous !
    Une vingtaine d’entreprises du territoire mécènent des œuvres à hauteur de 100 000 €. Les 2/3 appartiennent à la filière bois et les autres sont engagées dans le cadre de leur responsabilité sociétale.

    Un grand merci à : Nexira, PGS group, Socaps Fund, Coriance, Biocombustibles, CBA Architectes, Colas France IDF Bâtiment et TP, Laguerre groupe, Espace libre, Odyssée immobilier, Cuiller frères, Echos, Maison Dupuis, Burodoc, Tendance habitat, Fars, CIO et MF Palettes.

    La volonté d’engager les acteurs économiques du territoire s’inscrit dans la continuité du travail engagé dans le cadre de la COP21 locale lancée par la Métropole avec la signature de l’Accord de Rouen en 2018.



    Pour sa deuxième édition, « La Forêt Monumentale » s'installera en forêt de Roumare, sur un parcours en autonomie de 4 kilomètres. 13 œuvres seront installées, permettant d’aborder la forêt autrement en favorisant la mise en scène de la nature :

    Une œuvre pérenne réalisée par l'artiste danois Thomas Dambo ;
    Une œuvre réalisée par un artiste tchèque, Jan Tyrpekl, en écho à la candidature de Rouen comme Capitale européenne de la culture 2028 ;
    Une œuvre mettant à l'honneur un matériau biosourcé local : le lin normand ;
    Une œuvre réalisée en collaboration avec des étudiants de l'enseignement supérieur (ESADHaR) ;
    Neuf œuvres issues d'un appel à créations. celui-ci a rencontré un franc succès. En effet, 329 artistes du monde entier (plasticiens, designers, architectes…) ont proposé des projets, confirmant le rayonnement international de la manifestation.
  • Départ
    Canteleu
  • Documentation
    Les fichiers GPX / KML vous permettent d'exporter le tracé de votre randonnée sur votre GPS (ou autre outil de navigation)
  • Clientèles acceptées
    • Individuels
Points d'intérêt
1 Seesaw
Le Seesaw est conçu comme une œuvre d'art interactive à grande échelle. Cette balançoire géante au design intéressant se veut à la fois un objet d'art en soi, et une véritable balançoire utilisable par les promeneurs de tous âges.

La taille finale de la structure dépendra du matériau disponible sur place ou de ses propriétés, sa longueur maximale constituant un record à atteindre de 26 mètres. L’œuvre sera placée sur une partie herbeuse de la forêt, comme un solitaire, pour faire ressortir son aspect monumental.

L’installation joue sur le contraste des matériaux. D'une part, des troncs d'arbres grossièrement travaillés seront utilisés pour former la base de la structure. D'autre part, des attaches contemporaines, type câbles d'acier, seront utilisées pour renforcer la structure et supporter une partie de la charge.

Enfin, dans un souci crucial de durabilité et de sobriété, la grande majorité du bois utilisé proviendra directement des ressources locales et les troncs seront travaillés à la main, évitant ainsi les émissions provenant de la production ou de l'importation de matériaux d'ailleurs. Les déchets générés après la Biennale seront ainsi minimes.
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2 Le monde dans un gland
Le monde dans un gland est une capsule de méditation. Formant un énorme gland en pleine germination, sa coquille se fissure gracieusement avant que la radicule n'émerge, créant ainsi une entrée accueillante. En pénétrant à l’intérieur, les visiteurs plongent dans la perspective d'un arbre qui s'éveille.

S’inspirant de la nature, les tuiles du toit suivent méticuleusement une séquence de Fibonacci, faisant écho aux motifs complexes présents dans les plantes. Vues de l'intérieur, elles évoquent la luminescence des fenêtres typiques de l'architecture des églises gothiques, infusant doucement la lumière naturelle pour cultiver une atmosphère sereine.

Dans cette installation, la plupart des composants sont fabriqués à l'aide d'outils de coupe contrôlés par ordinateur, capables de sculpter du contreplaqué selon des formes complexes. Cette précision permet aux composants d'être efficacement emballés à plat pour un assemblage sur site, créant ainsi une structure robuste. Pour résister aux intempéries, l'installation est protégée par du contreplaqué nautique et élevée sur des blocs de béton comme fondation.

Le monde dans un gland vise à créer une expérience immersive qui suscite la curiosité tout en imprégnant nos sens des merveilles de la nature.
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3 Les chaumes
Par leur présence au milieu de la forêt, des objets à l’allure totémique interpellent. A l’approche, on découvre une œuvre en matière et en volume. Trois silhouettes en chaume semblent attendre d’être visitées. On y monte, on sort sa tête. On se transforme en géant, on porte l’œuvre comme un habit. Les corps sont invités à prendre part à l’œuvre et à vivre celle-ci de l’intérieur. Ils viennent prendre la place de celui qui est parti. Curieux, on entre dans le volume pour prendre de la hauteur et passer la tête à son sommet. On fait alors l’expérience de l’enveloppe protectrice. On se métamorphose. On se camoufle pour retrouver son âme d’enfant dans un habit monumental.

Cette œuvre tentera de répondre à plusieurs enjeux, à la fois environnementaux, pédagogiques et artistiques :

- Questionner notre empreinte, notre geste,
- S’intégrer à un milieu naturel,
- Créer avec un faible impact sur l’environnement mais un fort impact sur les esprits,
- Pratiquer le réemploi,
- Contribuer à la prise de conscience de la valeur de la forêt,
- Questionner le rapport entre l’humain et la nature,
- Proposer une expérience, une pause insolite,
- Mettre en scène l’art dans la forêt et instaurer un dialogue complice avec le lieu,
- S’inscrire dans un parcours artistique ambitieux.
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4 Herd
Herd met en scène un troupeau d’animaux évoquant des sangliers et traversant des chemins forestiers. Ce troupeau sera composé de 9 sculptures mesurant entre 90 cm et 150 cm au garrot, et réalisées à partir de branches torsadées soutenues par un squelette intérieur solide.

L’artiste souhaite ici s’imprégner de la beauté naturelle de la forêt, avec l’objectif d’y intégrer ces 9 sculptures en totale harmonie avec l'environnement et de susciter chez les promeneurs un effet impromptu de conte de fées. Il s’agit également de souligner l'importance de la faune locale et des habitats naturels, à l’heure de la déforestation mondiale et de leur impact sur la survie des espèces animales sauvages. La harde symbolise un groupe fort et uni qui traverse sans crainte la forêt, car elle y est chez elle.

Le cadre de chaque sculpture sera soudé à partir de profils métalliques de 15x15 mm. Des branches solides, dures et épaisses seront fixées à une armature métallique. La stabilité de chaque sculpture sera notamment assurée par un cadre horizontal rigide (treillis), relié aux quatre pieds de la sculpture et enterré à environ 5-15 cm sous terre. Les sculptures seront finalisées avec des brins de saule.
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5 L'attrape-brume
L’attrape-brume est composée de filets agricoles recyclés tressés en cordes, et de verre. L'installation est accrochée entre les arbres, telle une toile d'araignée à la fois aérienne, légère et monumentale. Des gouttes de verre, fixées et disséminées sur ce réseau, pendillent à la manière de centaines de pampilles, oscillant avec le vent et jouant avec la lumière. S’entrechoquant parfois doucement, elles produisent un tintement discret, un son d'alerte.

L’installation s’inspire des fils de soie des toiles d’araignées, et des collecteurs de brouillards, installés dans les régions arides du monde et sources d’approvisionnement en eau pour les populations. Car la sécheresse progresse aussi en France et les arbres, sensibles au stress hydrique, voient leur santé se dégrader. L’œuvre évoque ainsi la respiration de la forêt et son rôle dans le cycle de l'eau, soulignant les interactions entre les éléments naturels pour donner la pluie, la condensation ou encore l’évapotranspiration. L’utilisation du verre, minéral et imputrescible, sans impact sur l’environnement, rappelle l’eau par sa transparence et ses propriétés physiques.

Tout en délicatesse et poésie, l'installation s’intègre et réagit à son environnement.
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6 Camels
Camels est un projet présentant 3 grandes sculptures tressées en osier et se voulant une représentation ludique, symbolique et synthétique de chameaux. Il s'agit de formes abstraites montées sur de fines pattes, évoquant de manière ronde et poétique ces animaux du désert. En lévitant au-dessus du sous-bois, ces formes cherchent à mettre en valeur le charme magique qui émane des alentours. Quelque part entre chameau, dinosaure, gourde et esprit de la forêt, chaque sculpture invite le visiteur à laisser vagabonder son imagination pour lui conter l’histoire du lieu.
À l’aune du réchauffement climatique et de l’accélération des extinctions animales, ces camélidés, locataires incongrus de la forêt nordique, deviennent aussi une allégorie du futur où le climat normand y serait à leur goût.

Les sculptures sont en osier, matériau organique et biodégradable. Elles sont soutenues par un squelette intérieur soudé à partir de fils et de profilés en acier de construction. Les pieds, faits de tubes d'acier, seront montés dans le sol sur un cadre d'acier stable situé juste sous terre.

Les sculptures seront un peu en retrait du chemin, offrant une vue d’ensemble de leur l'environnement, et attirant ainsi l'attention des visiteurs sur la beauté de la forêt.
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7 La forêt sacrée - OEuvre collaborative
L’œuvre explore le parallèle entre les deux anciens sanctuaires européens : la cathédrale majestueuse et la foret mystique. La cathédrale, avec ses hautes nefs et ses colonnes imposantes, est un monument à la grandeur humaine et à la quête du divin.
De même, la foret, avec son feuillage luxuriant et sa végétation dense, est un temple naturel qui évoque un sentiment de révérence et de crainte face à la création. Ces deux lieux sont des espaces de contemplation et de réflexion, ou l’âme humaine cherche à transcender le terrestre et à se connecter au sacré. Nous avons transposé le plan de la cathédrale de Rouen dans la foret, encadrant un espace délimité par une géométrie concrète, ou chaque arbre devient un pilier, avec ses branches étendues vers le ciel. Filtrant la lumière à travers ses feuilles comme s’il s’agissait d’un vitrail, qui renvoie des éclats de couleur à la foret, modifiant la perception que nous en avons. Avec cette œuvre, nous invitons le spectateur à réfléchir sur l’interconnexion entre l’humain et le naturel, le divin et le terrestre.
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8 A ladder to heaven
A ladder to heaven est une installation visant à éprouver l'échelle d'un paysage et son rapport avec l'humain. Cette échelle très haute, atteignant le sommet de l'arbre, met en scène deux personnages en ascension, créant la sensation de se rapprocher du ciel.

L'installation se fera en plusieurs étapes. Tout d'abord, les barres de fer et tout le matériel nécessaire seront transportés sur place. Les barres latérales seront placées côte à côte et les deux profils seront soudés ensemble en utilisant la flexibilité naturelle du matériau, avec une torsion pour contrer la déformation.
Les marches seront ensuite soudées, en laissant un espace aussi large que le tronc. La dernière étape au sol consistera à fixer les deux figures humaines - en résine époxy peinte en rouge – à un angle pour qu'elles se tiennent verticalement. Pour élever la structure, un câble sera relié à l'échelle et à une poulie au sommet de l'arbre, avec un treuil au niveau du sol. L'échelle sera fixée au sol à l'aide de piquets enfoncés dans la terre et soudés à l'échelle. L'échelle et les figures seront fixées à l'arbre à l'aide d'anneaux munis de protections, pour ne pas endommager l'arbre et s'assurer qu'elles résistent aux vents violents.
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9 Compluvium
OEUVRE VALORISANT UN MATÉRIAU BIOSOURCÉ LOCAL

Compluvium est une allégorie de l'eau. Sa géométrie, tout en apparaissant en contraste avec l'environnement naturel, lui permet de se fondre dans le paysage grâce à un subtil travail de peaux de lin et de fibre de verre. Matériaux qui, au contact de la lumière, transformeront son aspect et finiront par le faire disparaître à la fin de la journée. Cette expérience atmosphérique intérieure vise à nous faire prendre conscience de la présence de l'eau dans la forêt, sublimant l’essence même de cet élément une fois incorporé à l'intérieur de l'espace.

Plus concrètement, Compluvium est une opération géométrique qui articule un vide central basé sur un cube virtuel de 5 x 5 x 5 mètres. Les toits inclinés vers l'intérieur permettent de recueillir l'eau au centre du pavillon, comme dans l'atrium romain.

Trois matériaux le composent : le bois, pour la structure qui donne corps à cet abri aquatique ; la fibre de verre, qui agit comme une membrane protectrice, laissant passer la lumière mais fournissant une enveloppe étanche résistante au passage du temps ; et enfin le lin, issu de l’usine locale du Tissage du Ronchay (Luneray), qui formera la peau extérieure et intérieure du pavillon de manière différenciée.
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10 Cathédrale de Vert
Il y a incontestablement une similitude entre les sous-bois d’une forêt majestueuse et l’intérieur d’une cathédrale. Les troncs et les branches se déploient dans des architectures qui évoquent des piliers, des voutes, des nervures, des ogives... Historiquement, les forêts et les cathédrales ont toujours été liées, la construction de tels édifices nécessitant d’énormes quantités de bois.

Cathédrale de vert souligne le lien évident entre Rouen, sa cathédrale, et les nombreuses forêts avoisinantes. Expérience immersive et contemplative, elle invite à prendre le temps de l’observation, à entrer en communion avec l’environnement naturel.

Véritable plaidoyer pour la sauvegarde la nature, cette cathédrale est élevée à la gloire de la forêt, dans la forêt. Un édifice architectural entièrement transparent, qui la célèbre en même temps qu’il la donne à voir, dont la porosité interroge et redéfinit le lien entre architecture et nature. De l’intérieur, la Cathédrale de Vert laisse apparaître son environnement dans son entièreté, elle n’est que le squelette d’un unique monument, en symbiose avec la forêt.

Au fil des saisons, l’aspect de son enveloppe extérieure se modifie, les parois se recouvrent de verdure, rappelant ces architectures oubliées en forêt que la nature se réapproprie. Le projet devient alors une allégorie de la nature non domestiquée.

L'artiste remercie très sincèrement Marius Lazar du Jardin fleuri, pour la fourniture des pieds de jasmin plantés tout autour de l’œuvre.
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11 Une rivière sonore du possible
Depuis de nombreuses années, le musicien et plasticien Will Menter orchestre la matière en créant des sculptures sonores qui explorent la frontière entre la musique et les sons naturels. Dans Une Rivière Sonore du Possible, il utilise les sons simples produits par des planches de chêne lorsqu'elles se percutent pour créer une musique douce en harmonie avec la forêt. Sur le principe du xylophone et du marimba africain, l’artiste a accordé chaque planche avec précision en creusant une rainure en son centre. Les planches de chêne sont placées les unes à côté des autres, chaque pièce étant suspendue sur le côté par deux fils reliés à une structure en bois, qui serpente à travers la forêt sur une longueur de soixante mètres.

Le bois bouge et vibre librement. Entre chaque planche, une pièce de bois en forme de navette sert à percuter les touches musicales. Celle-ci est à son tour reliée à une fine pièce en forme de feuille qui capte le vent.

Les mouvements des planches, qu'ils soient provoqués par le vent ou par les actions du public, sont totalement aléatoires. Les rythmes et mélodies produits sont donc tout aussi aléatoires et, outre le plaisir sensoriel qu'ils procurent, incitent à la réflexion sur la question de savoir où finit la musique et où commence la nature.
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12 Origine
Le milieu forestier par essence suscite pour l’humain une multitude d’interactions, de sensations et d’émotions. Nous avons, en nous, une familiarité ancienne avec cette nature, refuge de nos lassitudes, ressource de nos vies urbaines et stressantes ; mais aussi terrains d’aventures, de découvertes et de joies familiales.
Pour autant, comment aborder cet espace ? Comment oser se perdre ? Comment laisser la nuit nous surprendre sans échapper à nos peurs ancestrales ?

Origine est une expérience plastique et sculpturale, ludique et cinétique, interrogeant l’espace forestier et son paysage. Ce monolithe ovoïde se pose délicatement au sol, presque en lévitation, tel un objet technologique aux fonctions mystérieuses, visiblement déconnecté de la nature. Le visiteur est invité à la toucher et la faire pivoter sur elle-même.

Par ses surfaces réfléchissantes, l’œuvre capte la totalité du paysage qui l’entoure et en offre une lecture inédite, fragmentée et poétique. Telle une boule tango, elle renvoie la lumière du soleil par chacune de ses cent cinquante faces en autant de points lumineux sur les surfaces du lieu qui, combinés au mouvement de rotation, font apparaître un effet vortex.
L’environnement qui se reflète se modifie aussi au gré des mouvements du visiteur, exprimant ainsi son appartenance à cette nature et à cette forêt.
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13 Gargan le géant - œuvre pérenne
Au cœur de la forêt, émerge une œuvre pérenne d'une beauté sobre et profondément connectée avec la nature. Utilisant le bois comme principal matériau, dont la plupart provient de sources recyclées, Thomas Dambo donne vie à des êtres incarnant des gardiens silencieux de la forêt.

Façonnée avec une précision artisanale, l’œuvre nous raconte une histoire de régénération et de préservation, s'inspirant des histoires et légendes locales, et évoquant les récits mystiques qui résonnent à travers les arbres.

Pour sa réalisation, l’artiste danois ouvre ses portes à la participation du public et fera le bonheur des amoureux de la nature et du bricolage, avec la volonté de créer une expérience partagée et un héritage collectif au sein de la forêt de Roumare.

Une œuvre pérenne où chacun devient le gardien de cette connexion entre l'imaginaire, l'histoire locale et la préservation de notre environnement naturel.
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